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Longévité des iPhones : Distinguer entre “ancien” et “obsolète”
L’un des aspects attrayants de posséder un iPhone est sa durabilité exceptionnelle, soutenue par Apple à travers des mises à jour de sécurité continues même pour les modèles plus anciens. Cependant, à mesure que le temps passe, l’obsolescence des appareils devient inévitable. Apple a mis en place une classification claire pour différencier les iPhones “anciens” et “obsolètes”, chacun ayant des implications spécifiques.
iPhone “ancien” : Quand il devient obsolète
Selon les directives d’Apple, un iPhone est considéré comme “ancien” lorsque sa commercialisation a été arrêtée il y a plus de cinq ans, mais moins de sept ans. Pendant cette période, Apple continue de soutenir ces modèles en assurant les réparations et en fournissant des pièces de rechange, au moins pour les cinq premières années après la fin de la commercialisation. Au-delà de cette période, la disponibilité des pièces peut varier, bien que des exceptions légales puissent s’appliquer, prolongeant parfois le support jusqu’à sept ans.
iPhone “obsolète” : Les limites de support
Après sept ans depuis la fin de la commercialisation, un iPhone devient officiellement “obsolète” selon Apple. Cela signifie que la firme cesse de fournir des réparations matérielles et que les centres de services ne peuvent plus commander de pièces pour ces appareils. Cependant, en France, les règlements post-2020 permettent une période de support de sept ans après la fin de la distribution pour les iPhones achetés après le 31 décembre 2020, offrant une clarté supplémentaire pour les utilisateurs concernant la maintenance de leurs appareils.
Cas spécifique de l’iPhone 5S
Récemment, Apple a mis à jour sa liste d’iPhones obsolètes aux États-Unis, incluant l’iPhone 5S, un modèle lancé en septembre 2013. Bien que cette mise à jour ne soit pas encore reflétée sur le site français au moment de la rédaction, elle soulève des questions sur l’évolution technologique et les choix de conception d’Apple. L’iPhone 5S a été pionnier en introduisant TouchID pour la reconnaissance d’empreintes digitales et une architecture 64-bit, marquant ainsi une étape importante dans l’histoire des smartphones.
